SURMENAGE
J’ai la sensibilité à fleur de peau,
Et les larmes au bord du cœur,
Larmes de peine, ou de bonheur,
Pour un rien, elles ruissellent aussitôt.
Je m’énerve, ma patience me fait défaut.
Ma mémoire est devenue une vraie passoire,
Réflexion et concentration restent illusoires,
Je m’emmêle les pinceaux, je cherche mes mots.
Je me sens complètement vide, et mon corps fatigué
Devient pesant fardeau, comme un boulet à traîner,
J’avance péniblement, tel un automate aux piles usées,
Mes mouvements désordonnés, ivre de fatigue, épuisée.
Tout m’est égal, même mes passions se sont envolées,
Tout me parait noir, je me sens seule, indigne d’intérêt,
Je n’ai plus la force, plus envie de me battre, je baisse les bras,
Alors que j’aime tant la vie, pourquoi ressentir cela ?
J’en ai marre de voir défiler ma vie, sans la vivre vraiment,
De travailler sans relâche, esclave d’un métier à l’engrenage infernal,
J’ai tant besoin de respirer, besoin de souffler, normal,
J’ai tellement envie de vivre à rayonner la vie, en aurai je le temps ?
Lyse 2005
On a tous nos limites, aussi résistants soit on, vous comprendrez pourquoi, quels sont mes combats en plus de mon métier en lisant mes autres textes.Mais je ne suis pas seule, alors je remonte toujours grâce à l’aide de mes précieux amis, qui se reconnaitront même si je ne les cite pas. Mais je pense à tous ceux qui dépriment, les suicidaires et je leur dit: que même si on touche le fond, c'est un moment passager, ne vous refermez pas sur vous même,acceptez cette main tendue, car rien n'est plus dangereux dans ces moments de désespoir que la solitude, alors courage , ne lâchez pas accrochez vous à la vie elle vaut vraiment la peine d’être vécue, ET DE SE BATTRE POUR ELLE !!!
J’ai la sensibilité à fleur de peau,
Et les larmes au bord du cœur,
Larmes de peine, ou de bonheur,
Pour un rien, elles ruissellent aussitôt.
Je m’énerve, ma patience me fait défaut.
Ma mémoire est devenue une vraie passoire,
Réflexion et concentration restent illusoires,
Je m’emmêle les pinceaux, je cherche mes mots.
Je me sens complètement vide, et mon corps fatigué
Devient pesant fardeau, comme un boulet à traîner,
J’avance péniblement, tel un automate aux piles usées,
Mes mouvements désordonnés, ivre de fatigue, épuisée.
Tout m’est égal, même mes passions se sont envolées,
Tout me parait noir, je me sens seule, indigne d’intérêt,
Je n’ai plus la force, plus envie de me battre, je baisse les bras,
Alors que j’aime tant la vie, pourquoi ressentir cela ?
J’en ai marre de voir défiler ma vie, sans la vivre vraiment,
De travailler sans relâche, esclave d’un métier à l’engrenage infernal,
J’ai tant besoin de respirer, besoin de souffler, normal,
J’ai tellement envie de vivre à rayonner la vie, en aurai je le temps ?
Lyse 2005
On a tous nos limites, aussi résistants soit on, vous comprendrez pourquoi, quels sont mes combats en plus de mon métier en lisant mes autres textes.Mais je ne suis pas seule, alors je remonte toujours grâce à l’aide de mes précieux amis, qui se reconnaitront même si je ne les cite pas. Mais je pense à tous ceux qui dépriment, les suicidaires et je leur dit: que même si on touche le fond, c'est un moment passager, ne vous refermez pas sur vous même,acceptez cette main tendue, car rien n'est plus dangereux dans ces moments de désespoir que la solitude, alors courage , ne lâchez pas accrochez vous à la vie elle vaut vraiment la peine d’être vécue, ET DE SE BATTRE POUR ELLE !!!